Korsar
Caractéristiques
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Genre / Thème Compétitif Cartes Pirates |
Résumé
Envoyez des galions, envoyez des corsaires et des capitaines mais récupérez les cargaisons !
Règles
Ultra simples à comprendre et à expliquer, le jeu s'apprend très rapidement, dès la première carte posée. Un simple feuillet de deux pages suffit pour expliquer la bataille navale qui va s'ensuivre.
Matériel
- 78 cartes
- 1 livret de règles
Cartes
| Taille | Nombre |
| 56 x 86 |
78 |
Mécanique de jeu
À son tour, le joueur actif peut soit piocher une carte, soit jouer une carte.
Jouer une carte, c'est poser un galion ou alors un corsaire. Les galions rapportent de l'or, des points en fait, si on parvient à les préserver des attaques adverses. Ils ont une valeur allant de 2 à 8. On remporte un galion lorsque le tour suivant sa pose arrive et qu'il n'a pas été attaqué ou que la défense a été efficace.
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Les corsaires, eux ont quatre couleurs différentes et des valeurs de 1 à 4. Si on veut attaquer ou protéger un galion, il suffit de poser un corsaire vers la cible. Les autres joueurs pourront faire de même à condition d'utiliser une autre couleur de corsaire. Celui qui a la plus forte attaque, après que tout le monde a jeté l'éponge, remporte le galion.
Les capitaines sont les cartes les plus fortes dans le jeu. Ils effacent tous les autres capitaines joués et font mains basses sur les trésors. |
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Le jeu se poursuit jusqu'à ce que la pioche soit épuisé et qu'un joueur se soit débarrassé de toutes ses cartes.
En fin de partie, on fait les totaux des galions récupérés. Tout galion restant en main sera déduit de ce total. Celui qui a le plus de points remporte la partie.
Quoi qu' j'en pense...
Prix modique, Korsar est le petit jeu que l'on trimable partout pour des partie rapides. Certes, il ne faudra peut-être pas pousser mémé dans les orties et enchaîner les parties pour éviter de se lasser.
Pour l'instant je n'ai fait que des parties à deux. Je me dis qu'à partir de trois, le jeu change d'aspect. La stratégie ne sera pas la même, le jeu complètement différent. En effet, à deux, on pose les galions en espérant que l'autre n'aura pas une grosse attaque en face alors que la réplique sera quasi systématique. On peut épurer sa main en sacrifiant les petits galion. Mais plus il y a de monde autour de la table, plus, j'imagine, que les coups de bluff peuvent permettre de sauver les gros galions en laissant les adversaires s'entre-dévorer.
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Je vois donc plusieurs intérêts à ce jeu qui ne se jouera pas du tout de la même façon à 2, à 3 ou 4. Après, il y a quand même un aspect non négligeable à accepter : le tirage aléatoire des cartes. Perpétuellement mélangées, il y a forcément des parties où un joueur sera exclu, ne piochant que des galions qu'il ne pourra défendre et si en face, l'un ne tire que des capitaines, ça ne facilitera pas les choses.
Malgré cela, Korsar est très sympa. Sa simplicité n'interdit pas cependant une tension comme au poker. Jouer des cartes mais quand ? |
Tendre des pièges, retenir les cartes passées pour mieux avancer, mieux contrôler son jeu. Le facteur chance est certes présent mais il ne fait pas tout non plus. Cependant, les poissards au tirage voudront vite le couler par le fond...
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